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Toute la Presse

Classykeo (France) - Octobre 2023

William Goutfreind

"Le public en salue la performance par moult applaudissements"

Pianiste (France) - Juin 2023

Melissa Khong

"D’autres temps forts ont marqué cette épopée lilloise, tels les deux suites de Rachmaninov par le duo Ancelle-Berlinskaia"

Toute la Culture (France) - Novembre 2022

Hannah Starman

Ludmila Berlinskaïa et Arthur Ancelle magiques à la Philharmonie
"Le duo inséparable, sur scène et dans la vie, nous livre une interprétation virtuose et complice des Transcriptions pour deux pianos de Victor Babin devant un public transporté. Berlinskaïa et Ancelleapportent une énergie lumineuse et une gaieté jazzy aux compositions de Tchaïkovski, Rachmaninoff, Rimski-Korsakov, Borodine, Stravinski et Tsfasman. (...) Au-délà de leur jeu unanime et techniquement abouti, tant au plan musical qu’expressif, du riche répertoire proposé, ces deux pianistes hors du commun nous enchantent par leur fusion créative, leur vitalité fraîche et l’attention qu’ils portent à la musique, au public et l’un à l’autre."

CONCERTCLASSIC.COM (FRANCE) - Octobre 2022

Alain Cochard

"Ludmila Berlinskaïa et Arthur Ancelle se sont pris de passion pour l’ouvrage et le restituent dans toute sa richesse, ici sombre et fataliste, là d’une virtuosité mordante ou ludique. Belle découverte, qui mériterait amplement de trouver un prolongement en studio d’enregistrement !"

Le Monde (France) - Septembre 2022

Marie-Aude Roux

"Ouvert par le pupitre des violoncelles, le magnifique "intermezzo", large élégie confiée aux cordes ponctuée par les vents rêveurs n'est pas sans évoquer Samuel Barber et Aaron Copland (...). Davantage dans la veine d'un Poulenc que d'un Bach, le "Finale alla fuga" clôture cette partition avec panache. Ludmila Berlinskaia et Arthur Ancelle ont également enchanté l'auditoire avec la transcription de la Romance op. 21 n°7 de Rachmaninoff, par Victor Babin, dont le Russe fut le mentor en Amérique."

Concertclassic.com (France) - Septembre 2022

Alain Cochard

"On ne saurait mieux préparer à Fauré et sa suite Dolly que les deux artistes font ensuite vivre et pétiller, d'une commune respiration, en préservant la douceur des coloris. Charme entêtant d’un intimisme tendre ... Ils poursuivent avec Feuille d’images (1830) de Louis Aubert (...) que le duo explore en distillant de savoureuses harmonies, typiques de l’entre-deux-guerres. Une musique aussi simple que suggestive qui, restituée avec pareille finesse, parle immédiatement à l'imagination."

Klassikinfo (Allemagne) - Août 2022

Elisabeth Richter

"Quelques accords nonchalants (...) puis un brillant feu d'artifice de courses éclate et scintille sur le clavier. Sur leurs deux pianos, Ludmilla Berlinskaya et Arthur Ancelle ignorent toute limite de tempo et tiennent en haleine avec une précision fascinante."

Concertclassic.com (France) - Mars 2022

Alain Cochard

"Les vrais duos de piano sont très rares et celui que forment depuis une décennie Ludmila Berlinskaïa et Arthur Ancelle, constitue un modèle d’accomplissement musical. (...) La musique est le meilleur des baumes, se dit-on en savourant la totale osmose des deux interprètes dans un lyrisme aussi évocateur qu’émouvant (...) La seconde partie de la soirée anniversaire du Duo forme un cocktail proprement irrésistible que les deux pianistes et leur complices jazzmen d’un soir enlèvent avec un chic et un humour, un charme et un swing qui vous poursuivent longtemps après avoir quitté la salle."

Music Seasons (Russie) - Février 2022

Angelina Antonova

"Que puis-je dire ? Une telle fusion des âmes est la base d'une famille heureuse - surtout lorsqu'il existe une chimie aussi étonnante dans la collaboration, comme c'est le cas pour Ludmila et Arthur. (...) Ils utilisent le son pour exprimer leur admiration mutuelle, et c'est certainement une expérience merveilleuse. En effet, l'auditeur a l'impression qu'une seule personne joue. (...) Le public s'est clairement réjoui, enveloppé par un son dans la meilleure tradition des groupes de jazz du milieu du siècle dernier - rêve américain, fumée de cigare et odeur de whisky.
Il est difficile de passer sous silence la virtuosité exceptionnelle des musiciens invités et la facilité avec laquelle Ludmila et Arthur sont passés de la musique russe académique au jazz américain langoureux et juteux. (...) Un ensemble étonnant de quatre musiciens, dont la respiration semble synchronisée, ressentant subtilement la délicatesse de la musique qu'ils touchent. (...) La rencontre avec l'art de musiciens aussi forts laisse une impression, vous tire de la routine banale vers un monde parallèle complètement différent - de la musique, de l'art, de la relaxation de l'âme. Et ce n'est pas un spectacle, mais une expérience puissante et intime.
Le concert s'est conclu par le morceau "Snowflakes" du duo, extrait de la Jazz Suite de Zfasman, arrangé pour ce groupe particulier. Solos virtuoses de chacun des membres du quatuor, énergie tonitruante de Ludmila Berlinskaya, surprises inattendues pour ceux qui ont entendu le morceau plus d'une fois et ont réussi à le mémoriser jusqu'à la dernière note.
Des applaudissements assourdissants mérités par une salle plutôt bruyante et des rappels à l'humour pétillant"

Concertclassic.com (France) - Octobre 2021

Alain Cochard

"Difficile de résister à la vivacité et à la tendresse, comme au relief que Ludmila Berlinskaïa et Arthur Ancelle apportent aux deux allegros, qu’ils emportent avec une fraîcheur adolescente. Et que d’imagination mettent-ils dans l’Adagio non troppo – pièce étonnante quand on songe à l’âge de son auteur –, sachant en traduire la riche expression et les coloris changeants sans surcharger le propos. Un pétillant Tsfasman en bis prolonge le plaisir."

Van Magazin (Allemagne) - Août 2021

Wendelin Bitzan

"ils ont réalisé une interprétation inspirée et de plus en plus convaincante. En particulier, l'excellente interprétation du Chevalier Errant, une pièce de caractère expansive, travaillée de manière polyphonique et comportant des éléments concertants, s'intègre parfaitement dans la salle des chevaliers de Husum. Le final, (...) habilement adapté par Arthur Ancelle, est un point culminant absolu de musique inspirée et orientée vers le public.(...) Le "jazz" soviétique - ce n'est pas un événement quotidien, même à Husum, et il est accueilli avec enthousiasme par l'auditoire."

L'Alsace (France) - Juin 2021

Jean-Marie Schreiber

"D'emblée Ludmila Berlinskaia et Arthur Ancelle nous ont séduits tant par leur virtuosité que par la propreté de leur jeu, leur technique sans faille, leur parfaite concordance. Pas une fraction de seconde de décalage. On avait l'impression de n'avoir à faire qu'à un seul exécutant qui s'appropriait pleinement mélodie et harmonisation quel que fût le style de l'oeuvre jouée."

Musical Life Magazine (Russie) - Mars 2021

Evgenia Krivitskaia

"La puissante Sonate en si mineur de Liszt est un formidable défi pour tout pianiste, tant sur le plan dramatique que technique. L'arrangement de Saint-Saëns ajoute à cette complexité l'interaction de l'ensemble - une sorte de "traduction inversée" où deux pianos doivent sonner comme un seul instrument. Et Berlinskaya et Ancelle se sont acquittés de cette tâche avec brio, faisant preuve non seulement d'une virtuosité enviable mais aussi d'une étonnante simultanéité dans le phrasé, la respiration, le sens du tempo et l'harmonie intérieure."

Toute La Culture (France) - Janvier 2021

Jean-Marie Chamouard

"Ludmila Berlinskaïa et Arthur Ancelle ont interprété deux œuvres majeures du répertoire romantique pour piano. L’auditeur aura été séduit par leur complicité et par leur interprétation à la fois délicate et fougueuse."

Gang Flow (France) - Janvier 2021

Anne-Sandrine di Girolamo

"L’interprétation est au temps parfaitement sculpté, à la note riche et au son travaillé (...) Tout dans ce duo est, en effet, à l’œuvre, au son, et au souci de l’autre. (...) Interprétant dans une salle désertée un dix-neuvième siècle joueur et flamboyant, il révèle ainsi les aspirations de notre époque, ses espoirs et désespoirs."

Conspirito.fr (France) - Octobre 2020

Jany Campello

"Un formidable moment de partage et de joie (...) Le duo Berlinskaïa – Ancelle trouve ici ses marques familières, discourant avec une joie malicieuse dans le premier mouvement, échangeant tendrement les thèmes puis chantant d’une même voix dans l’admirable Andante. Quelle entente dans le phrasé, les articulations, et la réalisation si subtile des ornements! Le Rondeau-allegro bourré de caractère, est pimpant, stylé, lumineux (...) Quel spectacle épatant que de voir ce couple de pianistes s’amuser des coq-à-l’âne de cette musique, se jouer de son second degré avec tant d’esprit!"

Concertclassic.com (France) - Octobre 2020

Alain Cochard

"C’est pour lui-même et sa sœur Nannerl que le Salzbourgeois le composa en 1779, circonstances qui éclairent l’esprit d’une partition délicieuse, mais où il est facile de tomber dans l’enfilage de perles. Aucun risque avec le Duo Berlinskaya-Ancelle qui, par la généreuse complicité qui l’unit, signe une interprétation irrésistible de fraîcheur et de relief. Les pianistes  comprennent que la musique de Mozart est une scène de théâtre et les deux instruments des personnages qui dialoguent avec esprit, malice et grâce (merveilleux Andante...). Portée par la direction lumineuse de Lucie Leguay, leur interprétation vit, rebondit, avec autant de vitalité que de style dans le phrasé et, surtout, un émerveillement constant. (...) On ne pouvait préluder de plus savoureuse manière au Concerto pour deux pianos en ré mineur, dont Ludmila Berlinskaya et Arthur Ancelle s’emparent avec une santé et un humour contagieux. (...) Les interprètes s’en souviennent dans une interprétation vivante et farceuse, quoique jamais racoleuse ni débraillée"

Concertonet.com (France) - Octobre 2020

Christian Lorandin

"Ce qui est toujours spectaculaire, en écoutant ces deux pianistes, c’est leur synchronisation millimétrée, l’unicité de la pensée musicale. En ce sens, le Concerto K. 365 de Mozart est un modèle d’exigence. Les mille pièges de l’écriture à deux pianos, ornements, articulations, traits à l’unisson ou en tierces, relais des phrases, équilibre des parties, qui ne se jouent qu’au prix d’un travail de répétition très méticuleux, sont ici franchis avec une aisance confondante, une joie de jouer, une énergie pétillante. La complicité qui unit Ludmilla Berlinkaïa et Arthur Ancelle s’exprime, malgré des jeux pianistiques différents, avec effervescence, humour et émotion dans une interprétation au charme fou."

Resmusica (France) - Août 2020

Patrice Imbaud

"le trio, formé par l’excellente Ludmila Berlinskaïa (fille de Valentin Berlinsky) au piano, Victor Dernovski au violon et Vytautas Sondeckis au violoncelle, donne une interprétation magnifique, passionnée, profonde et poétique, riche en nuances et en couleurs (...) Ludmila Berlinskaïa y retrouve le Quatuor Danel pour une interprétation, une fois encore marquée du sceau de l’excellence, qui trouve son acmé dans un formidable Scherzo qui séduit par sa dynamique puissante (piano), son ton sarcastique, tantôt macabre, tantôt jubilatoire, baignant dans une complicité et une symbiose totale entre piano et cordes."

Musical Life Magazine (Russie) - Avril 2020

Pavel Levadniy

"S’il fallait auparavant raconter au public russe l'histoire de cette "équipe familiale" à succès, Berlinskaya et Ancelle sont maintenant  perçus par les amateurs de bonne musique comme un phénomène stable et très brillant sur la scène mondiale du piano. L'académisme et le bon goût, l'aristocratie et l'expression, ainsi qu'un "jeu d'équipe" impeccable assurent la popularité croissante du duo (comme le confirme une salle Zaryadie pleine) et le portent aux premières places des prédilections des salles académiques. Cette union créative impressionne par l'absence totale de "syndrome du soliste", tout est subordonné à la logique du développement musical des œuvres interprétées et des tâches artistiques de haut niveau que les artistes résolvent avec brio. (…) Pour résumer mon bref aperçu du concert, tout amateur de musique à la recherche d'originalité, d'aristocratie et d'une culture d'interprétation de haut niveau « must have » dans ses bagages de mélomane le duo Berlinskaya - Ancelle."